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Catégorie : Frère André

Saint Frère André et la dévotion à saint Joseph

Quand le frère André entre chez les religieux de Sainte-Croix en 1870, il y a 23 ans déjà que la communauté est établie à Montréal. Son fondateur, le père Basile Moreau a une grande dévotion à saint Joseph. Fréquemment il incite ses fils et ses filles spirituels à se tourner vers saint Joseph pour l’honorer et l’aimer. Il les invite également à propager sa dévotion auprès des gens qui leur sont confiés.

Faire confiance

Un jour en 1998, j’ai reçu une lettre d’Alicia, une amie du frère André. Alicia habite Aguascalientes, un petit village du Mexique. « Depuis ce petit village si éloigné de Montréal, je rends grâce de tout cœur à Notre Seigneur d’avoir exaucé ma prière par l’intercession de frère André et de saint Joseph. » « Je bénis le jour où il m’a été donné de lire la biographie de frère André. J’ai acquis beaucoup de foi et de confiance en ce ‘SAINT’ (Tuve mucha fe y confianza en este ‘SANTO’) et aussi en saint Joseph. Avec eux, une faveur est vite obtenue. »

Devenir riche en vue de Dieu

Le Frère André dont nous célébrerons le 10e anniversaire de la canonisation, a eu, comme beaucoup de gens encore aujourd’hui, son lot de misère et de malheurs. Orphelin de père et de mère dès l’âge de 12 ans, maladif et sans instruction, il a eu à trimer dur pour gagner sa vie et faire son chemin. Mais il n’était pas dépourvu pour autant.

Hommage aux mamans

par Claude Grou, c.s.c.

Membre de l'équipe pastorale de l'Oratoire Saint-Jospeh

mai 10, 2020 Fêtes et célébrations, Foi, Frère André

À l’occasion de la fête des Mères, nous voulons offrir à toutes les mamans des souhaits inspirés par saint frère André.

« Je n’ai vu ma mère que souriante… et quel beau sourire !, avait-il confié. J’ai rarement prié pour ma mère, mais je l’ai bien souvent priée. »

Hommage aux aidants naturels

Chers amis, bien avant la pandémie, ceux qu’on appelle aujourd’hui nos anges gardiens s’incarnaient déjà dans les aidants naturels dont plusieurs ont pris saint frère André comme patron. À l’exemple de leur saint patron, les aidants naturels savent que la vie (quelle que soit l’épreuve que l’on vit maintenant) ne peut rien contre l’espoir, quand on veut croire. Croire comme un immense oui à la vie.

Nous avons un témoin, quelle chance!

En entendant le mot « témoin », n’est–il pas assez commun que vienne à l’esprit, l’idée immédiate de quelque situation, en contexte plutôt juridique… « que le prochain témoin s’avance à la barre ». Moment solennel d’engagement. C’est par lui (par eux) que la lumière sur la vérité, aura plus de chance d’être authentiquement rejointe, révélée.

Un amour qui fait vivre

L’abbé Pierre disait: “Le plus grand malheur qui puisse arriver à une personne, même aux plus petits, c’est de ne penser qu’à soi-même. La seule et unique règle qui conduise au bien et au bonheur est l’attention au plus faible”.

Avançons avec prières et persévérance

Nous devons continuer d’avancer dans la vie avec beaucoup de prières et de persévérance.

Un chemin d’espérance

Que saint frère André soit source d’inspiration et d’espérance pour chacun de nous en cette période où nous sommes tous affectés par la pandémie du coronavirus. Frère André nous rappelle qu’il n’existe pas de situations bloquées ni d’épreuves qui ne puissent être surmontées ou dépassées. Il y a toujours un chemin d’espoir pour celui ou celle qui sait faire confiance.

Croire à l’impossible

La situation que nous vivons avec le coronavirus n’est pas sans nous rappeler l’épidémie de la grippe espagnole de 1918 durement ressentie par les contemporains du Frère André. En ce temps-là comme aujourd’hui, beaucoup de familles vivent dans l’inquiétude et l’insécurité. Cette situation est cause de grandes souffrances.

Avec la complicité de son ami saint Joseph, le Frère André redonne espoir aux centaines et aux milliers de gens qui cherchent leur chemin. Il leur révèle des réalités que nous avons souvent tendance à oublier.

Libérer la souffrance à l’exemple de saint frère André

Le bureau de consultation à l’Oratoire Saint-Joseph du Mont-Royal, lieu d’accueil, d’écoute et de compassion est devenu au fil des ans un service important et privilégié offert aux personnes blessées, non pas physiquement – comme ce fut le cas au temps du frère André (années 1904-1937) –, mais davantage dans leur être psychique, psychologique, émotionnel, affectif, moral et religieux.