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Catégorie : Foi

Comme des enfants

Chaque année, plusieurs milliers d’écoliers viennent en visite à l’Oratoire. Ils sont toujours impressionnés par le personnage de saint frère André et par l’immense maison de prière qu’il a érigée avec ses amis en l’honneur de saint Joseph.

Le témoignage de foi des gens stimule ma foi et mon espérance

Il y a plusieurs années un prêtre diocésain de la rive-Sud faisait ce témoignage touchant sur son site internet : « Quand je suis libre le dimanche, j’aime bien participer à l’une des messes dominicales à l’Oratoire St-Joseph du Mont-Royal… La liturgie est simple. Le chant est beau. Et surtout l’assemblée des fidèles est parlante. Le témoignage de foi des gens, discret mais réel, stimule ma foi et mon espérance… Des gens de toutes les nations, de toutes les couleurs, de tous les âges, de toutes les santés et probablement de religions diverses, viennent prier Dieu à l’Eucharistie, saint Joseph dans l’immense salle aux lampions et le Frère André sur son tombeau. C’est vraiment l’Église universelle qui est présente ici et c’est, visiblement, le salut apporté par Jésus à tous qui s’y manifeste. »

Saint Frère André et la dévotion à saint Joseph

Quand le frère André entre chez les religieux de Sainte-Croix en 1870, il y a 23 ans déjà que la communauté est établie à Montréal. Son fondateur, le père Basile Moreau a une grande dévotion à saint Joseph. Fréquemment il incite ses fils et ses filles spirituels à se tourner vers saint Joseph pour l’honorer et l’aimer. Il les invite également à propager sa dévotion auprès des gens qui leur sont confiés.

L’espoir renaît toujours

par Jonas St-Martin, c.s.c.

Directeur, Bureau d’accueil et des pèlerinages

juin 23, 2020 Actualités, Foi

Ouf ! La crise causée par le nouveau Corona virus n’est pas encore complètement disparue, mais nous pouvons assurément pousser un soupir de soulagement. Soupir de soulagement, il faut bien l’avouer, après des mois de restrictions et d’angoisse. Un temps qui nous paraissait immensément long.

Faire confiance

Un jour en 1998, j’ai reçu une lettre d’Alicia, une amie du frère André. Alicia habite Aguascalientes, un petit village du Mexique. « Depuis ce petit village si éloigné de Montréal, je rends grâce de tout cœur à Notre Seigneur d’avoir exaucé ma prière par l’intercession de frère André et de saint Joseph. » « Je bénis le jour où il m’a été donné de lire la biographie de frère André. J’ai acquis beaucoup de foi et de confiance en ce ‘SAINT’ (Tuve mucha fe y confianza en este ‘SANTO’) et aussi en saint Joseph. Avec eux, une faveur est vite obtenue. »

La fête du Sacré-Cœur

par Claude Grou, c.s.c.

Membre de l'équipe pastorale de l'Oratoire Saint-Jospeh

juin 19, 2020 Fêtes et célébrations, Foi, Spiritualité

En ce troisième vendredi de juin, le Sacré-Cœur est à l’honneur. Que célèbre-t-on au juste ?

Devenir riche en vue de Dieu

Le Frère André dont nous célébrerons le 10e anniversaire de la canonisation, a eu, comme beaucoup de gens encore aujourd’hui, son lot de misère et de malheurs. Orphelin de père et de mère dès l’âge de 12 ans, maladif et sans instruction, il a eu à trimer dur pour gagner sa vie et faire son chemin. Mais il n’était pas dépourvu pour autant.

Le coeur plein d’espérance

Un jour je rendais visite à une amie de longue date. Bien avant que je la connaisse – alors qu’elle était maman de huit enfants et enceinte d’un neuvième – elle a perdu son mari dans un accident de la route. Désemparée, elle s’était jetée au pied de son crucifix en suppliant : « Seigneur, lâche-moi pas! » Âgée de plus de 85 ans, Alice me témoignait que le Seigneur ne l’avait jamais abandonnée. Elle me disait encore : « Tu sais, même si je vis seule dans ma maison, je n’ai pas peur. En fait, je ne suis jamais seule. Le Seigneur est là, je le sens bien présent à mes côtés et avec lui, je ne suis jamais inquiète de ce qui peut arriver. » Son cœur était plein d’espérance et de sérénité face à l’avenir.

Marie au coeur de nos vies

Le mois de mai me fait revivre un beau souvenir de mon enfance : un chant C’est le mois de Marie, c’est le mois le plus beau, à la Vierge chérie disons un chant nouveau. Dans plusieurs résidences une statue, une image, un chapelet évoquent sa présence. Appelons sa protection toute maternelle en pensant au drame humanitaire que nous vivons.

Marie, au cœur de nos souffrances

Marie, au cœur de nos souffrances; Marie au cœur des préoccupations de notre temps. Une présence discrète, mais combien rassurante et efficace. Tout comme sur la route menant au calvaire, la présence et le regard de Marie donnent la force de ne pas sombrer dans le désespoir face aux affres de la Covid-19. Le regard de Marie illumine et transforme tout chemin de croix en chemin d’espérance, de résurrection et de vie.

Marie au cœur de nos vies, chaque soir du mois de mai

« C’est le mois de Marie, c’est le mois le plus beau. ». Dans mon enfance, j’ai chanté souvent ce chant bien connu avec ma famille et les voisins du rang des Collines du petit village de Brébeuf où je suis né.

Chaque soir du mois de mai, avec les familles du rang, nous nous réunissions autour de la Croix de Chemin pour prier Marie.
Nous récitions le chapelet, chantions des cantiques, formulions des intentions de prière et fraternisions.