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La fête de Pâques nous rappelle à chaque année la victoire de la lumière sur les ténèbres, le triomphe de la vie sur la mort.

Voici venu le dernier jour de neuvaine à saint Joseph. J’ai la chance et le privilège de la vivre pleinement à l’Oratoire, le plus grand sanctuaire au monde dédié à ce saint – celui dont je me sens le plus proche.

« Comme frère André et bien d’autres, nous sommes invités à faire l’expérience du réconfort auprès de saint Joseph », nous dit-on avant la messe.

« Merci d’être là », me dit-on en guise de bonjour, en me tendant un feuillet de célébration à l’entrée de la basilique. « Merci d’être là ».

Je n’ai jamais oublié la manière « fortuite » dont j’ai découvert l’Oratoire, ou − devrais-je dire − « la manière dont saint Joseph a voulu que je découvre son Oratoire ».

Jésus se présente comme la lumière du monde. Nous devenons ses ambassadeurs; des disciples engagés librement dans cette mission, enthousiastes et authentiques vivant la Bonne Nouvelle !

Au cours du second volet de cette neuvaine à saint Joseph, les 13, 14 et 15 mars, je vous invite à vous engager avec moi dans une réflexion autour de la lumière; miséricorde, présence et salut…

C’était il y a un an et demi. J’étais venue de région parisienne au Québec faire une retraite au Cénacle de Cacouna, près de Rivière-du-Loup…

Grâce aux Annales de saint Joseph, ancêtres de la revue L’Oratoire, nous pouvons revivre les premières fêtes solennelles à saint Joseph

Le Musée de l’Oratoire a prêté une pièce inusitée de sa collection à Pointe-à-Callière, musée d’archéologie et d’histoire de Montréal.